L’avenir peut se construire avec la moto

La majorité développe un amour incontrôlable de l’auto moto à partir de l’adolescence. C’est l’âge où la découverte, l’expérience et toutes les nouveautés attirent le plus de personnes. Obtenir un travail avec la moto comme CV est de nos jours un rêve qui devient réalité. Plusieurs coureurs construisent leur vie à partir de leur passion et ce, grâce à leur persévérance et leur application dans le domaine. Le défi d’obtenir la première place dans les classements est sans conteste une motivation pour donner le meilleur de soi-même pendant les courses à deux roues.

Les plus grands coureurs à deux roues

L’amélioration de la conduite se fait à chaque course à laquelle on participe. C’est le cas de plusieurs coureurs, dont Fabio Quartararo et Francesco Bagnaia. Ce sont les deux plus grands coureurs du monde.

Fabio Quartararo

Dès son plus jeune âge, ce pilote français développe sa passion pour la moto avec acharnement. Aujourd’hui, il est le premier coureur de la moto GP à 61 points devant ses concurrents. Né le 20 avril 1999, Fabio est un jeune homme motivé et surpasse tous les obstacles avec beaucoup d’assurance. Soutenu par Monster Energy Yamaha MotoGP, il séduit le public et augmente ses fans en survolant les pistes de course.

Francesco Bagnaia

À ses 24 ans, l’italien Francesco détient la deuxième place en tant que meilleur coureur du monde. Il est dans l’équipe Ducati Lenovo Team avec 46 points. Il a vu le jour en Italie, plus précisément Turin, le 14 janvier 1997. Son parcours est une nouvelle preuve que la passion peut mener à plusieurs opportunités de réussite dans la vie. La première gloire de Francesco était en 2018 et depuis, il n’a plus arrêté de se battre. On peut en conclure que sa place actuelle est vraiment méritée.

Le casque Kokpit K-127 SMH5

Le K-127 s’adapte bien à un usage urbain. La coque en polycarbonate et la résine thermoplastique offrent une plus grande sécurité aux motards. Confortable, le Kokpit est conçu avec un tissu hypoallergénique. L’écran solaire interne est rétractable ce qui rend toujours la visibilité parfaite par forte luminosité. Accompagné d’un Intercom Bluetooth Solo SMH5, le casque fonctionne avec le Bluetooth 3.0. Ayant une autonomie d’environ 8 heures, cet accessoire pour motard permet en outre d’écouter de la musique, la radio, de téléphoner ainsi que de suivre des directions via votre GPS.

Le casque Sena Outstar SMH5

Le Sena Outstar SMH5 présente en quelque sorte une quintessence du casque urbain. Il offre une plus grande protection à la pluie grâce à son écran long. Le fabricant a même équipé cet équipement pour moto d’une anti-rayure, d’anti-UV et d’une antibuée. Son écran solaire interne escamotable permet de vous adapter à la luminosité ambiante. Le système Bluetooth intégré au casque donne la possibilité de rester connecté en permanence. D’une autonomie de 15 heures, le SMH5 permet entre autres de suivre un trajet GPS, de téléphoner ou encore d’écouter de la musique.

Le casque Sena Savage

Ce qui frappe en premier à ce casque jet est son look vintage et élégant. Le Sena Savage est plutôt léger à porter, puisque son poids tourne autour de 1 100 g. La fermeture boucle double D et la coque en fibre de verre offrent une plus grande sécurité aux conducteurs de deux-roues. Le système de communication Bluetooth offre une multitude de fonctionnalités. En effet, il est possible de communiquer via l’intercom, d’écouter de la musique, de passer et recevoir des appels ou même de suivre un itinéraire GPS. Avec ses haut-parleurs HD et sa technologie Advanced Noise Control, le son est très limpide. L’utilisation du casque est simplifiée grâce à la molette intuitive et l’application mobile.

Le casque pré-équipé Schuberth C4 Pro Carbon

Il s’agit d’un casque qui a entièrement été conçu dans un laboratoire Schuberth. Le C4 Pro carbon est donc un équipement à la pointe de la technologie. Très silencieux et aérodynamique, le casque est revêtu à 100 % avec une couche de fibre de carbone. Ce qui le rend très léger à porter. De la conception à la production, le confort a été toujours mis en avant. Avec le ShinyTex Eco-Tex 100, le rembourrage intérieur peut se détacher et être lavé. La vision optique Pinlock 120 de série donne la possibilité d’avoir un champ visuel plus large et impeccable.

Les motos accessibles à ceux qui ont le permis A2

Pour conduire une moto, vous devez avoir un minimum de compétences. C’est pour cela que les permis ont été attribués. Le permis A2, qui est accessible à n’importe quel âge, vous permet de conduire quelques types de moto d’une certaine puissance et d’un certain poids. La puissance de la moto ne doit pas dépasser les 47,5 chevaux, c’est-à-dire 35 kW. Puis, s’il s’agit d’un modèle bridé, elle ne doit pas dépasser les 70 kW. En outre, le rapport poids/puissance doit être inférieur à 0,2 kilowatt/kilo. Notons que la conduite avec un permis A2 pendant deux ans, en plus d’une formation qui dure environ 7h, vous permettra d’obtenir le permis à qui vous permettra de conduire différentes catégories de motos.

Quelques modèles de motos parmi lesquels ceux qui ont le permis A2 peuvent choisir

Donc, avec le permis A2, vos choix concernant la moto que vous pouvez conduire sont bien limités. Néanmoins, il existe quelques modèles intéressants parmi lesquels vous pouvez opter. C’est notamment le cas de la moto Ducati Scrambler 400 Sixty2 qui est bien appropriée aux débutants. Ce modèle ne nécessite aucune intervention technique et il est très polyvalent et maniable avec son style racé. Son prix est d’environ 8 000 euros. Pour ceux qui désirent un style sport, il y a le Honda CBR 500 qui est aussi bien adapté aux débutants en moto. Ce modèle est très pratique et offre une prise en main facile pour un prix moyen de 6 000 euros. Sinon, il y a aussi le Kawasaki Z300 qui est une moto véloce, maniable et légère. Ce modèle qui coûte autour de 5 000 euros et bien digne d’une catégorie au-dessus. Enfin, vous pouvez aussi choisir un Harley-Davidson 750 Street si vous aimez cette marque américaine ou un Suzuki V-Strom 650 si vous envisagez d’effectuer une randonnée en moto en tout confort.

Les inconvénients des top-cases

Si vous voyagez léger, et ce fréquemment, un sac à dos peut vous suffire. Vous pourrez y ranger vos affaires et vous ne serez pas obligé d’apporter de modifications sur votre moto sportive. Il faut savoir qu’en plus de modifier le design de votre moto, un top-case peut réduire son aérodynamisme. D’ailleurs, selon le top-case que vous installez, la vitesse maximale qu’il vous est permis d’atteindre peut être réduite.

Les avantages d’un top-cases

Si vous souhaitez installer un top-case, sachez que certains modèles de motos sont prévus pour recevoir une valise. Vous n’aurez par conséquent pas besoin de faire des modifications poussées sur vos deux-roues. Avec une valise, votre moto devient plus utilitaire. Vous pouvez y ranger les outils dont vous aurez besoin en permanence ou en cas de panne. Si vous prévoyez de faire un pique-nique, vous pourrez y ranger toutes vos affaires. Si vous avez besoin de transporter un matériel conséquent, vous serez moins encombré avec un top-case qu’un sac à dos.

Quelle valise choisir pour sa moto ?

Si vous conduisez une BMW R1250GS, vous pouvez opter pour une valise Vario. Vous en trouverez sur https://bmw.europe-moto.com/fr/valises-moto-bmw-motorrad/3287-bmw-pack-de-2-valises-vario-r1250gs-r1250gs-adve.html. Ce type de valise ne peut s’adapter qu’à certains modèles de moto BMW, dont la BMW R1200GS. Son volume est ajustable selon vos besoins et il peut atteindre les 40 litres. En moyenne, le prix d’une valise Vario est de 300 €. Afin d’optimiser l’espace de stockage de cette valise, vous pouvez y installer un sac Vario. Ce dernier dispose d’un système de fermeture qui permet de protéger vos affaires même si la valise Vario venait à s’ouvrir accidentellement. Notez qu’un sac coûte généralement dans les 100 €.

Mettre la moto en panne hors de la circulation

La première chose à faire lorsque la moto commence à décélérer serait de se mettre en bord de route. Serez bien à droite et allumez les feux de détresse. Sur l’autoroute, un piéton risque grandement de se faire renverser par les automobilistes. Ainsi, mettez-vous à l’écart de la zone de circulation, notamment sur une aire de repos ou l’emplacement pour les arrêts d’urgence. Sur la route, garez-vous sur le côté et mettez le gilet jaune. Si vous avez un triangle de sécurité, c’est le moment de le déployer si le véhicule reste immobilisé sur la chaussée.

Chercher à trouver une solution au problème mécanique

Un bon motard doit se connaître un peu en mécanique deux-roues. Cherchez à trouver la cause de la panne. Parfois, il s’agit d’un manque de carburant. Dans ce cas, il faut refaire le plein. Il se peut aussi que le moteur soit en surchauffe. Cela arrive lorsque vous poussez la moto à bout. Un niveau d’huile moteur trop bas peut aussi accentuer ce problème. Dans la plupart des cas, il suffit d’attendre que la température redescende pour ensuite reprendre la route. Mettez assez d’huile moteur pour deux-roues. Puis, pensez à vérifier l’équipement électrique et la bougie d’allumage.

Chercher de l’aide pour se faire remorquer

Si vous ne parvenez pas à résoudre la panne, appelez les secours. Les autres motards qui passent peuvent vous aider si vous leur faites signe. Cette solidarité est presque universelle. Puis, vous pouvez aussi appeler un ami qui se connaît en mécanique. Enfin, vous avez la possibilité de solliciter l’assureur. Votre compagnie doit vous fournir une assistance. Dans le cas échéant, assurez-vous à ce qu’elle prenne en charge le rapatriement de la bécane.

Pourquoi la location d’une moto est-elle intéressante ?

La location d’une moto présente de nombreux avantages. Avant de s’y lancer, il est donc, utile de les connaitre. Premièrement, on pense à la location de moto quand on est en vacances ou qu’on passe le weekend dans une autre ville. Au lieu de se trimbaler avec une voiture, qui peut faire monter la facture de votre séjour, louer une moto est une bonne option. Ce type de location permet de se sentir plus libre et d’être au contact de l’air tout en conduisant. On peut aussi facilement se faufiler entre les arbres, si vous souhaiter faire une balade en forêt, ou l’emmener directement sur la plage, pour des sensations et des expériences à part. Par ailleurs, on peut aussi choisir ce moyen de transport pour aller au travail et s’y rendre rapidement, en évitant les embouteillages. Sachez que chez les loueurs de moto, on peut trouver différentes gammes et différentes options de véhicule à 2 roues qui peuvent répondre à vos attentes. Il vous sera possible, dans ce cas, de louer des motos qui n’ont pas besoin de permis, comme les cyclomoteurs ou les scooters de 50 cm3 tout au plus. Mais il vous est aussi possible de monter sur des engins plus puissants à 125 cm3 et plus. Vous pouvez même demander si des quads sont disponibles, ou des scooters à 3 roues. Cela vous permettra de diversifier l’expérience. Un autre grand avantage de la location de moto également, c’est que vous pourrez changer de modèle à chaque fois que vous en aurez envie, sans vous soucier des procédures d’entretien en tout genre. Si vous avez envie de monter une moto puissante après la location d’un scooter, pas besoin de réfléchir, on peut facilement faire l’échange. Et enfin, si vous ne pouvez pas vous déplacer avec votre moto sur le lieu de votre destination, là aussi, vous pourrez louer le même modèle chez un loueur.

Les formalités administratives à connaitre avant de se lancer dans la location

Comme dans toutes procédures de location, vous aurez besoin de connaitre les formalités administratives nécessaires pour la location d’une moto. Tout d’abord, même si le véhicule que vous louez ne vous appartient pas, vous êtes tenu de respecter son état et le code de la route. En effet, si vous enfreignez la loi et les règles de la circulation, vous serez dans l’obligation de payer des amendes comme un simple propriétaire. Ensuite, avant de vous rendre chez un loueur de moto, il faut connaitre vos besoins. C’est-à-dire, quel type de moto vous voulez qu’on mette à votre disposition et sur quelle période et durée. En effet, une moto peut se louer à l’heure, mais aussi, à la journée. On peut également demander un contrat de location pour une semaine, pour un mois ou une année. Pour trouver le bon loueur dans ce cas, évitez les offres informelles. Elles peuvent être pas chères sur le lieu de votre séjour, mais vous n’aurez pas les mêmes qualités de service que chez un loueur professionnel et agréé. Ensuite, quand vous louez une moto, le loueur mettra à votre disposition le véhicule dans un état irréprochable et sans souci technique. Vous aurez aussi les papiers du véhicule ainsi que les accessoires nécessaires pour votre sécurité. On notera dans ce cas, que ce sera le loueur qui vous dotera d’un casque, mais également, d’un antivol. Vous aurez aussi un réservoir plein, que vous remettrez plein également, à la fin du contrat. Le loueur se chargera également de vous souscrire à une assurance. Du côté du locataire, il doit déposer chez le loueur, des pièces administratives différentes, dont sa carte nationale d’identité. Il devra aussi s’acquitter d’une caution ainsi que de montrer sa carte bancaire. Et enfin, le locataire ne pourra pas prendre la moto sans présenter son permis de conduire qui doit être de la catégorie A ou B.

Spécificités

Une boîte de vitesse à 5 ou 6 rapports est le meilleur choix en transmission. En effet, la courroie crantée n’a pas besoin de beaucoup d’entretien. Quelques modèles proposent des transmissions automatiques comme le Yamaha FJ R, le BMW K 1600 GTL ou encore la Honda GoldWin. Côté carrosserie, les motos GT procurent une grande protection au pilote.

Tarifs

Pour les GT européens, on peut acquérir une moto GT à partir de 14000 euros pour un prix moyen de 20000 euros. Mais les prix peuvent grimper au-delà de 30000 euros si vous optez pour un modèle Amiral de la marque en plus des autres accessoires que vous pouvez ajouter ultérieurement. Chez les Américains, le tarif est un peu plus cher de l’ordre de 20000 à 40000 euros. Eh oui, le confort a un prix.

Qualités et inconvénients

Comme avantages, le confort est au rendez-vous. L’engin motorisé résiste au long trajet. La GT est équipée de matériels high-tech. Elle procure au conducteur une image valorisante. La conduite de la moto GT donne l’air d’être un pilote confirmé. Toutefois, le défaut de ce deux-roues est son poids très élevé et son encombrement important. Le moteur est souple, mais moins puissant. Entre autres, le prix d’achat est très élevé.

Avoir une moto bien préparée pour rouler l’hiver

La moto doit être préparée pour être en parfait état de fonctionnement pendant l’hiver. La batterie doit avoir suffisamment de charge. Ainsi, utilisez le kick pour démarrer le véhicule s’il n’y a pas assez de charge. Laissez le moteur ronronner un moment pour que la batterie soit chargée. De cette manière, vous avez suffisamment de courant pour l’éclairage et le klaxon. C’est aussi indispensable pour les fonctionnalités telles que le chauffage des mains. Les fluides peuvent aussi geler. Pour en avoir le cœur net, utilisez de l’antigel en additif de l’huile. Un liquide de faible viscosité est plus indiqué pour l’hiver. Les pneus doivent être suffisamment crantés pour rouler sur la neige. Il faut de l’adhérence. La gomme pour la piste de course n’est pas adéquate. Les freins sont à vérifier, notamment le fonctionnement de l’ABS. Graissez la chaîne et utilisez un sel adapté pour enlever la neige.

Adapter la conduite pour une piste glissante

Pour conduire un deux-roues en plein hiver, il faut rouler aussi doucement que possible. La piste glacée vous fait perdre de l’adhérence. Le coefficient passe de 0,9 à 0,2. En d’autres termes, les risques de glisser sont réels. Si la neige est fraîche, adoptez une conduite souple. Il est normal de glisser un peu, mais rectifiez la trajectoire et gardez le cap. Utilisez votre corps pour le contre-braquage. Une longue distance de freinage est requise. Anticipez les arrêts. Si la neige se tasse, roulez sur les traces de voitures pour avoir le moins de poudre blanche entre la chaussée et les roues. Sur verglas, l’adhérence est pratiquement nulle. Gardez les jambes droites comme pour anticiper une chute. Roulez moyennement. L’hiver, allumez les phares et portez un gilet jaune pour être vu.

Une préparation physique nécessaire

Avant de partir sur la route, le premier geste à accomplir est de procéder à la vérification de la météo. S’il n’est pas possible de reporter le voyage, il est alors essentiel de bien s’y préparer physiquement.
Pour cela, il faut se munir de vêtements chauds et qui ne gonflent pas face au vent. De plus, il faut se préparer à faire face à un vent violent qui va produire une plus grande intensité de sifflement dans le casque. Pour ça, il est utile de se munir de bouchons d’oreille. Enfin, il faut s’assurer que les yeux sont bien à l’abri pour assurer une bonne visibilité en route.

Bien maitriser sa moto

Ce n’est pas n’importe quelle moto qui peut faire face aux bourrasques du vent. Il faut que le modèle ait un centre de gravité situé vers le bas qui est moins accessible au vent. De même pour le guidon, il ne doit pas être décoré, car cela va créer une perturbation aérodynamique.
Durant la conduite à proprement parler, la moto va sans doute dévier et bouger ce qui va être le plus dur à vivre. Le conseil est de garder les genoux bien fixes, et travailler le haut du corps avec souplesse.

Une histoire de batterie qui lâche

En général, il est toujours question d’un souci de batterie lorsque la moto ne démarre pas. Même si les batteries modernes sont mieux développées que les anciennes et qu’elles sont résistantes, il arrive qu’elles lâchent sans prévenir. Les signes qui le prouvent sont toujours les mêmes.
Lorsqu’une tentative de démarrage est faite, la roue du démarreur va montrer de la lenteur ou va émettre un claquement sec sans bouger. Là, il est certain que c’est un souci de batterie. Pour Y remédier, il suffira de pousser la moto ou utiliser un booster de démarrage. Dans certains cas, il est plus sage de la brancher toute une nuit sur un chargeur adapté.

Un souci de contacteur d’embrayage

Dans d’autres cas, c’est sans doute le contacteur d’embrayage qui s’est érodé. Pendant le démarrage, c’est cet instrument qui permet s’assurer la sécurité et faire que la moto bouge. Sans entretien, il s’abîme et le démarrage ne pourra pas s’enclencher.
Une solution rapide à adopter serait de bricoler soi-même le contacteur d’embrayage avec du plastique ou un trombone. Avec de la chance, cela pourra tenir jusqu’au garage pour le faire réparer.

Le cas d’une panne sèche

Une simple panne sèche pourrait arriver, ce qui est très embêtant. Si tout est dans les normes et qu’il y a toujours de l’essence sans que la moto veuille démarrer, il suffit de l’incliner et la secouer pour profiter de ses dernières ressources.